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Présentation
Musique Classique de Bretagne HIStoire et contexte
Présentation historique par Mikael Bollore-Penlaez et Kaëlig Boché.
La Bretagne possède une culture et une identité riche dans de très nombreux domaines artistiques comme la peinture, la littérature, l’architecture, l’art culinaire, le théâtre, les arts de la rue, etc. La musique est un de ces champs artistiques dans lequel les Bretons ont toujours su démontrer leur savoir-faire et leur grande richesse. Qu'il s'agisse de la musique populaire, de la musique religieuse ou du métissage artistique, tous les genres ont été et sont encore aujourd'hui abordés, représentés, étudiés, transmis et créés.
Dans le domaine de la musique traditionnelle par exemple, les sonneurs (nom des musiciens jouant de la bombarde et du biniou -ou cornemuse- en couple) peuvent être considérés comme les ambassadeurs du genre breton. Les chants a-capella, en couple, dit kan-ha-diskan (littéralement "chant et déchant"), ou seul dans les balades et les complaintes, autrement dit les gwerzioù, impressionnent par leurs performances vocales. Les premiers animent souvent les fêtes locales (festoù-noz) tandis que les seconds sont autant d'histoires racontées en chanson.
En Europe, en 1848, le "printemps des peuples" et l'effondrement progressif de l'Empire austro-hongrois voit l’affirmation du principe des nationalités. Les compositeurs de musique classique se sont dès cette époque efforcés de créer des styles nationaux empruntant des thèmes traditionnels. Mais il existe de la musique classique (au sens de musique savante) bretonne depuis bien avant cet événement et l’on peut retrouver des partitions datant de la période baroque !
Forte d'une tradition musicale originale, la terre bretonne ne pouvait qu'inspirer ses enfants. Leurs noms sont aujourd'hui connus mais pas de tous. Le premier grand compositeur breton et certainement l'initiateur d'une "école bretonne" se trouve en la personne de Joseph-Guy Ropartz né à Guingamp en 1864. Ecrivain, poète et compositeur, sa musique s'inspire rapidement de son pays natal. Dirigeant le conservatoire de Nancy, son œuvre emprunte souvent à la Bretagne, ses danses et son âme. Son opéra "Le Pays" en est l'illustration la plus caractéristique. "Pêcheur d'Islande" ou bien encore "La Chasse du prince Arthur" empruntent tant aux réalités bretonnes de l'époque qu'à l'imaginaire celtique. Sa première symphonie sur un cantique breton est une œuvre d'une extrême sensibilité.
Les compositeurs qui lui succéderont et souvent le côtoieront seront tout aussi actifs dans l'utilisation de la matière bretonne. Certains procéderont au collectage de chants traditionnels. C'est le cas par exemple de Bourgault-Ducoudray missionné pour cela par le Ministère ou de Duhamel. Ils auront rapidement conscience que dans ces chants réside le beau et l'original.
Dans son ouvrages, intitulé "Dictionnaire des compositeurs de musique en Bretagne", Vefa de Bellaing recense plus de 200 compositeurs liés par leurs origines ou par amour à la Bretagne. De renommée inégale, ces compositeurs ont toutefois participé, chacun à leur niveau, à l'émergence d'un style breton. Ces derniers ont souvent été liés entre eux. Adhérant pour une partie d'entre eux au mouvement artistique du début du siècle Seiz Breur, ils ont contribué à donner une identité musicale originale à la musique bretonne de leur époque. C'est le cas de Paul Ladmirault, Paul Le Flem, Georges Arnoux ou Jef Le Penven, tous les quatre adhérents de l'Unvanizh ar Seiz Breur. Aussi la commission pour la musique de l'Institut celtique de Bretagne, rassemblait tous les grands de l'époque. En plus des quatre nommés plus haut, on y trouvait Ropartz, Guillou, Piriou ou Langlais. Une autre association créée par Le Flem en 1912 rassemblait elle aussi des compositeurs, il s'agissait de l'Association des Compositeurs Bretons (ACB). D'autres, comme Vuillemin, Duhamel ou Rhené-Baton participeront aussi activement à cette aventure.
Alors "école bretonne" ou pas ? Les contacts entre compositeurs bretons de la fin du XIXe et de la première moitié du XXe siècle au sein de différentes associations ont créé un style spécifiquement breton. On peut aujourd'hui affirmer qu'à cette époque une école bretonne de musique classique a vu le jour. Elle n'aura pas le succès qu'a rencontré le groupe des cinq en Russie. Mais ces compositeurs auront eu au moins le bénéfice de créer des liens. Ces liens sont soutenus par le désir d'exprimer à travers certaines de leurs œuvres leur pays.
Ce style s'est créé autant par les "Noëls bretons" que Jean Langlais utilise dans ses compositions que les thèmes religieux, historiques, légendaires ou tout simplement la musique traditionnelle qui inspirent d'autres compositeurs. Brocéliande, Merlin, les cantiques, la mer. Tout ce qui caractérise la Bretagne est une source d'inspiration. Jean Cras excelle par exemple dans l'évocation de la mer. "Journal de bord", son œuvre la plus connue en est l'illustration. Les pièces pour piano de Rhené-Baton comme "En Bretagne", "Au pardon de Romengol", "Danses de la Saint-Jean pays trégorrois" ou les pièces vocales ou d'orchestre "Les Fileuses de Bretagne" et "Dimanche breton" de Ropartz en sont quelques exemples supplémentaires.
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La plateforme Kanadenn (‘ce qui est chanté’ en breton) vous propose de partir à votre guise à la découverte de ces musiques classiques qu’elles soient vocales ou instrumentales et s’attache à les mettre en valeur via différents projets pour participer à la vitalité de ces répertoires trop peu connus du public, cette plateforme s’étoffe ainsi chaque mois de nouveautés issues de la participation de chaque personne souhaitant renforcer les connaissances générales sur les compositrices, les compositeurs et leurs œuvres !
Découvrez plusieurs axes vous permettant différentes manières de découvrir ces musiques avec nos informations biographiques et bibliographiques, nos productions audiovisuelles spécifiques, notre galerie musicale collaborative, notre section interactive et créative et enfin notre agenda participatif gratuit.
Plongez dans des découvertes passionnantes et bouleversantes ! Louis-Albert Bourgault-Ducoudray
(1840-1910)
liste de ses œuvres principales
Œuvres symphoniques et opéras :
• Danse égyptienne, poème symphonique
• Carnaval d’Athènes, poème symphonique
• L’enterrement d’Ophélie, poème symphonique
• Le fils de Saül, poème symphonique
• Rhapsodie cambodgienne, poème symphonique
• Symphonie 1861
• Symphonie religieuse avec choeur 1868
Œuvres de musique de chambre :
• Quatre mélodies pour violon et piano
• Berceuse pour violon
• Fantaisie pour basson et piano
• Quatre mélodies pour violon
• Abergavenny
• Mélodies, pour piano et viloloncelle
• Offertoire pour orgue
• Sous les saules, pour piano et violon
• Trois mélodies, pour piano et viloloncelle
• Quatre mélodies pour violon
• Anisykhia, pour piano et violon 1881
• Sur les lagunes, pour piano et violon 1881
• Adagio pour orgue 1884
• Les Funérailles d'une vierge 1889
• Rhapsodie cambodgienne 1890
• Trois pièces pour violon ou violoncelle et piano 1890
• Dernier adieu, pour piano et viloloncelle 1900
• Valse humoristique, pour piano et viloloncelle 1910
• La Bergère à la crèche, pour cor anglais et piano 1913
• Les Bergers et la crèche, pour piano et violon 1913
Œuvres pour piano et mélodies :
• Bourrée
• Marchons au trot
• La Guérandaise
• Sur le rempart
• Le Moustique
• Rhapsodie cambodgienne
• Chant de guerre breton
• Menuet pour le piano 1872
• Gavottes 1872 & 1882
• Le Carnaval d’Athènes 1881
• Souvenirs de Prades 1890
• Croquis symphoniques pour piano 1890
• Passe-pied pour piano 1896
• La Majeure, valse à danser 1898
• Abergavenn 1900
• Trois pièces pour piano 1900
• Air de danse dans le style ancien 1900
• Sarabande pour piano 1901
• Simple mélodie pour piano 1905
• Fumées 1905
• Berceuse tendre 1905
• À Saint Hubert 1907
• Esquisses d’après nature 1907
• Douze pièces enfantines pour piano 1907
• Gavottes bretonnes 1912
• Danse égyptienne 1929
Œuvres vocales et religieuses :
• Stabat Mater
• Tamara, opéra 1890
• Myrdhin, opéra 1905 éléments biographiques
Louis-Albert Bourgault-Ducoudray est né le 2 février 1840 à Nantes.
Issu d'une famille d'armateur, il était chef d'orchestre et compositeur. C'est après avoir suivi des études de droit, qu'il se consacre à la musique, en intégrant le Conservatoire de Nantes. Il remporte le Prix de Rome en 1862 et devient professeur de musique au Conservatoire de Paris. Fortement attaché à la musique traditionnelle bretonne, il participa à la faire connaître tout en s'en inspirant pour ses propres œuvres. Tout au long de sa carrière, il s'efforça de faire découvrir au public les musiques d'ailleurs, réalisant des missions un peu partout dans le monde (en Grèce tout particulièrement). Il s'intéresse aux musiques russes de son époque. Sa vie entière sera un balancier entre la Bretagne, pays de son enfance et le lointain. Deux des ses opéras l'illustrent : Tamara se déroule à Bakou en Azerbaïdjan et Myrdhin composé 15 plus tard en Bretagne. Membre de l'Association bretonne en 1876, il écrit dans de nombreuses revues bretonnes.
Louis-Albert Bourgault-Ducoudray décède à Vernouillet le 14 juillet 1910.
A ses début et en découvrant l'Italie et ses compositeurs de la renaissance, il s'en inspire pour composer deux Stabat Mater, le second étant dédié à Palestrina. Le nom de ses œuvres raconte des voyages en particulier "Carnaval d’Athènes", "Danse égyptienne" ou la "Rapsodie cambodgienne". Ses pièces pour piano sont plus nombreuses. On y retrouve les mêmes sources d'inspiration puisées en Grèce, en Azerbaïdjan ou en Bretagne. C'est d'ailleurs dans cette dernière qu'il s'exprime aussi fortement. Effectuant une mission pour le Ministère, il collecte des airs populaires, sans toutefois parler la langue bretonne. Il se fait assister par les meilleurs linguistes de l'époque (Vallée, Loth). Ses œuvres majeures en lien avec la Bretagne s'appellent tout simplement "Myrdhin" (Merlin) et "Anne de Bretagne", ce dernier opéra étant consacré au sculpteur des ducs, Michel Columb.
à écouter sur musikanadenn
POUR ALLER PLUS LOIN
Ouvrage de référence :
Louis-Albert Bourgault-Ducoudray et la Bretagne : du collectage à la composition
Par Daniel Leloup & Marie-Noëlle Masson
Musique en Bretagne : images et pratiques, Presses Universitaires de Rennes 2003
Joseph-Guy Ropartz
(1864-1955)
liste de ses œuvres principales
Œuvres symphoniques et opéras :
- Divertimento
- Symphonie n° 3
- La Cloche des morts 1887
- Les Landes 1888
- Carnaval 1889
- Pêcheur d'Islande 1889
- Marche de fête 1889
- Cinq pièces brèves 1889
- Dimanche breton, suite en 4 parties 1893
- Symphonie n° 1 (sur un choral breton) 1894
- Fantaisie en ré majeur 1897
- Symphonie n° 2 1900
- La Chasse du prince Arthur 1911-12
- À Marie endormie 1911-12
- Soir sur les chaumes 1913
- Sons de cloches 1913
- Symphonie n° 4 1914
- Œdipe à colonne 1914
- Rhapsodie pour violoncelle et orchestre 1928
- Sérénade champêtre 1932
- Bourrées bourbonnaises 1939
- Petite symphonie en mi bémol majeur 1943
- Symphonie n° 5 1945
- Pastorales 1950
Œuvres de musique de chambre :
- Fantaisie brève sur le nom de Magnard pour quatuor à cordes
- Quatuor n° 1 1893
- Sonate pour violoncelle et piano n° 1 1904
- Sonate pour violon et piano n° 1 1907
- Le Pays, Opéra 1912
- Quatuor n° 2 1913
- Sonate pour violon et piano n° 2 1917
- Trio en la mineur pour violon, violoncelle et piano 1918
- Sonate pour violoncelle et piano n° 2 1918-19
- Deux pièces pour quintette à vents 1924
- Quatuor n° 3 1926
- Sonate pour violon et piano n° 3 1927
- Prélude, Marine et Chanson pour flûte, violon, alto, violoncelle et harpe 1928
- Trio en la mineur pour violon, alto et violoncelle 1934-35
- Quatuor n° 4 1936
- Quatuor n° 5 1947
- Quatuor n° 6 1951
Œuvres pour piano et mélodies
- Choral varié 1904
- Ouverture, variations et final 1904
- Nocturne n° 1 1911
- Dans l'ombre de la montagne 1913
- Nocturne n° 3 1916
- Scherzo 1916
- Nocturne n° 2 1916
- Musiques au jardin 1916-17
- Croquis d'été 1918
- Croquis d’automne 1929
- Jeunes filles 1929
- À la mémoire de Paul Dukas 1936
Œuvres vocales et religieuses :
- La Fleur d'Or
- Amour d'Hiver
- Prière
- Le Petit Enfant
- Sous-Bois
- Lied
- Rondel de Miséricorde
- Rondel pour Jeanne
- Rondeau pour un Délaissé de s'Amye
- Les Fileuses de Bretagne, chœur pour voix de femmes
- Kyrie solennel, pour 4 voix soli, chœur et orgue 1886
- Offertoire pascal, pour orgue seul 1889
- Psaume 136 "Super flumina Babylonis", pour chœur et orchestre 1897
- Quatre motets pour 4 voix mixtes a cappella 1900
- Messe brève en l'honneur de Sainte Anne, pour trois voix égales et orgue 1921
- Messe en l'honneur de Sainte Odile, pour chœur mixte et orgue 1923
- Messe "Te Deum Laudamus", pour 3 voix mixtes et orgue 1925-26
- Requiem, pour soli, chœur et orchestre 1937-38
- Salve Regina pour chœur mixte et orgue 1941
- Psaume 129 "De profondis", pour solo, chœur et orchestre 1942 éléments biographiques
Joseph-Guy Ropartz est né à Guingamp le 15 juin 1864.
Il développe très tôt des dons artistiques au contact de son père, avocat et homme de grande culture. À la mort de celui-ci, c’est son frère Yves qui l’encourage à écrire des poèmes et des nouvelles car, le jeune Ropartz veut d’abord être écrivain. Mais peu à peu, la musique devient sa préoccupation première, et, en 1885, il part pour Paris avec le secret espoir de parfaire sa maigre formation au Conservatoire. Il devient l’élève de Dubois pour l’harmonie et de Massenet pour la composition, préférant toutefois à ce dernier (dont l’enseignement aurait pu le conduire au Prix de Rome) la figure emblématique de César Franck. L’influence de celui-ci sera prédominante dans la genèse d’œuvres comme le Psaume 136 (1897) ou les Quatre poèmes d’après l’Intermezzo de Heine (1899) et favorisera l’éclosion de son propre langage.
En 1894, il est nommé directeur du Conservatoire et des Concerts Symphoniques de Nancy. Ardent défenseur de la musique de son temps et chef d’orchestre émérite, il y améliore la qualité de l’enseignement et hisse l’orchestre au plus haut niveau national. Chausson y créera son Poème et Magnard ses Symphonies. Ropartz pourra aussi y faire jouer sa Troisième symphonie avec chœurs ainsi que son opéra Le Pays.
Homme de tous les défis, il relèvera aussi celui consistant, après la victoire de 1918 à restructurer le Conservatoire de Strasbourg. Cet exil de presque trente ans favorisera l’éclosion de sentiments nostalgiques et rêveurs caractéristiques de son style.
Lors de sa retraite en 1929, Ropartz rejoint son manoir breton de Lanloup et peut enfin travailler sereinement pour lui et enrichir un corpus comprenant, entre autres, cinq symphonies, six quatuors à cordes et plus d’une centaine de mélodies.
Guy Ropartz s’est éteint le 22 novembre 1955, jour de la sainte Cécile, patronne des musiciens.
o Dix poèmes mis en musique
- Barcarolle
- La Cloche Fêlée
- Chanson d’Automne
- Le Moulin à Vent
- Le Revenant
- Vieilles Cloches
- La Momie
- La Tristesse de la Lune
- La Mort des Pauvres
- L’Epinette
o Carmen
o Venez Seigneur
o Trois poésies de Charles Baudelaire
- Spleen
- Obsession
- Le Jet d’eau
Il y en a en réalité 3 autres non répertoriés (manuscrits) :
- Un fantôme
- Remords posthumes
- Madrigal triste
o Le soir d’été (chœur hommes imposé pour au Festival de Strasbourg 1863)
o Les Noces spirituelles de la Vierge Marie
o Le Promeneur de Ciel
o Invocations aux Muses
o Saint Jean Baptiste au Désert
o Le Nardjol
o Les Cygnes
o Yadjnavalkya
o La Légende de Hu-Gadarn
o La Femme Pecheresse qui répandit des parfums sur les pieds de Notre-Seigneur Jésus-Christ + Livret Le déclin de la Tour d’Ivoire
o Le Supreme Purusha
o Trio avec piano
o Messe à six voix, orchestre et orgue
o Forêt de Brocéliande
o Thème et variations pour piano, op. 40
o Symphonie de la mer
o Musique sur l'eau
o Trois Préludes pour orchestre
o Symphonie de la forêt
o Grande Sonate dramatique "Titus et Bérénice"
éléments biographiques
Rita Strohl, née Aimée Marie Marguerite Mercédès Larousse La Villette, le 8 juillet 1865 à Lorient (Morbihan) dans un milieu très ouvert aux arts. Rita Strohl est la fille de l'artiste peintre Élodie La Villette (1842-1917) et de Jules La Rousse La Villette. Elle est aussi la nièce du côté maternel de l'artiste peintre Caroline Espinet (1844-1910).
Son père était un bon violoncelliste amateur, sa mère et sa tante étaient réputées comme peintres et son grand-père était maître de danse à Rennes. Elle se fera remarquer au Conservatoire national de Musique de Paris où elle était entrée dans la classe de piano de Le Couppey par son esprit indépendant (comme une vingtaine d’année plus tard Blanche Selva), ira prendre des cours de composition et de chant en dehors de l’institution auprès du couple Barthe et jouera pour ses examens de fin d’année des morceaux de sa composition.
En 1888, elle épouse l'enseigne de vaisseau Émile Strohl (1863-1900) dont elle gardera le nom et se retrouve veuve 12 ans plus tard alors mère de plusieurs enfants.
Elle se remarie en 1908, et son nouvel époux, René Billa, pianiste et admirateur de Wagner, plus tard connu pour ses créations de maître verrier sous le nom de Richard Burgstahl (on peut admirer ses vitraux en l’Abbaye de Fontfroide près de Béziers) l'accompagne dans ses projets les plus fous, comme la construction en 1912 d’un petit Bayreuth près de Paris, à Bièvres, dans le but d’y faire jouer ses grandes fresques dramatiques, un grand cycle Chrétien commencé en 1905, un cycle Celtique en 1910 et un cycle Hindou en 1923. Mais La Grange de Bièvres ne survit pas aux épreuves de la guerre de 1914, puis aux crises économiques.
Son catalogue est très important, œuvres pour voix et piano, voix et orchestre, musique pour piano, musique de chambre et musique d’orchestre. Malheureusement, sur plus de quarante créations allant du cycle de mélodies aux grandes épopées dramatiques, seules quelques pièces pour piano et de musique de chambre, deux symphonies et une vingtaine de mélodies ont été éditées en leur temps et ne sont pas facilement accessibles. L’essentiel est manuscrit et d’accès également compliqué. Ses grandes fresques lyriques qui constituent trois véritables cycles complets d'opéras d'art total comme pouvait le concevoir Wagner, sont épris d'une volonté farouche de démontrer l'aspect transcendantal de la vie et de multiples formes de spiritualités qui se rejoignent en une œuvre, celle de sa vie.
Elle fut plébiscitée par Camille Saint-Saëns, Vincent d’Indy ou Gabriel Fauré. La cantatrice Jane Bathori chanta ses Chansons de Bilitis, et Pablo Casals joua également ses œuvres.
Honorée notamment par Pierre Louÿs, par Henri Duparc, elle figure dans le dictionnaire des contemporains où on signale qu’elle est officier d’Académie.
Alice Sauvrezis
(1866-1946)
liste de ses œuvres
(catalogue BNF)
Musique orchestrale :
• Fresque marine (1912)
• La Chanson des soirs (1923) : 1. Soirs agrestes ; 2. Soirs somptueux ; 3. Soirs lugubres ; 4. Dernier soir.
Musique de scène :
• Une Scène de l'enfance de Beethoven, scène mimée, avec chœurs et danses (Paris, E. Fromont, 1906) ;
• Le Chant des pauvres, pièce de Gérard Detraux en 2 actes d’après des légendes bretonnes (Paris, M. Sénart, 1913).
Musique chorale :
• La Ronde enfantine, pour chœur d’enfants (1890) ;
• Nuitamment, pour deux sopranos, baryton et piano (1898) ;
• Les Vanneuses, pour chœur de femmes (1899) ;
• Épigramme funéraire, pour solo, chœur et piano (1907) ;
• Hymne orphique, pour soprano, baryton, chœur de femmes (1910) ; existe également dans une version pour voix et piano ;
• Excuse à la marraine, pour soliste, chœur et piano (1920).
Mélodies pour voix et piano :
• Souvenir, paroles de Paul Vibert (1887) ;
• Clair de lune. La Forêt blanche, paroles d'Henri Chantavoine (1889) ;
• Tristesse. La Forêt noire, paroles d'H. Chantavoine (1889) ;
• 10 Chants de la comédie enfantine, paroles de Louis Ratisbonne (1891) ;
• Toujours, paroles de Jules Lemaître (1893) ;
• Chanson de mer, paroles de Sully Prudhomme (1896) ;
• La Fileuse, paroles d'Herminie Delavault (1898) ;
• La Flûte, paroles de José-Maria de Heredia (1899) ;
• Sône, paroles d' Anatole Le Braz (1899) ;
• Chansons écossaises : 1. Jane ; 2. Nell, (1900) ;
• Le Sommeil de Canope, paroles d'Albert Samain (1900) ;
• Sonnets forestiers, paroles d'H. Chantavoine 1900): 1. Le Matin (Prélude) ; 2. La Forêt rouge (Soleil couchant) ; 3. La Forêt blanche (Clair de lune) ; 4. La Forêt noire (Tristesses) ;
• Axilis au ruisseau, paroles d'Albert Romain (1902) ;
• La Conque, paroles d' J.-M. de Heredia (1902) ;
• Ton Souvenir, paroles d'A. Samain (1903) ;
• Fleurs de feu, paroles de J.-M. de Heredia (1906) ;
• Le Repos en Égypte, paroles d'A. Samain (1906) ;
• Le Batelier, paroles d'H. Delavault (1907) ;
• Chanson violette, paroles d'A. Samain (1907) ;
• Heures claires, paroles d'Émile Verhaeren (1911) : 1. Chaque heure, où je pense à ta bonté ; 2. Je dédie à tes pleurs ; 3. Que tes yeux clairs ; 4. Vivons dans notre amour ; 5. S'il arrive jamais ;
• Prélude de la chanson d'Eve, paroles de Charles Van Lerberghe (1911) ;
• Autre chanson, paroles d'Henri de Régnier (1913) ;
• Ballade de la Belle au bois dormant, paroles de Maurice Pézard (1913) ;
• Chants de soldats (1525–1915) : Chansons populaires, chants militaires, hymnes nationaux, sonneries (1915) ;
• Autres chants de soldats (1200–1916) : Chansons populaires, chansons de route, chants historiques et militaires (1916) ;
• Prière avant la Bataille, paroles d'Henri Dussauze (1916) ;
• Soldats de France. Chant dédié aux combattants, paroles du Capitaine Nicolas (1916) ;
• Noël d'Alsace, paroles d'Émile Hinzelin (1917) ;
• Le Départ, paroles d'H. de Régnier (1919) ;
• L'Heure, paroles d'H. de Régnier (1919) ;
• Deux Illustrations musicales, paroles d'A. Samain (1920) : 1. Nyza chante ; 2. Hermione et les bergers ;
• Deux Poèmes de Victor-Émile Michelet (1920) : 1. Roses mortes ; 2. L'Heure de ta beauté ;
• Harmonie du soir, paroles de Charles Baudelaire (1921) ;
• Calme des jardins, paroles de Louis Arnould-Gremilly (1921) ;
• Neiges sur la montagne, paroles de L. Arnould-Grémilly, (1922) ;
• Heures d'été, paroles d'A. Samain (1924) ;
• Veillée, paroles d'Albert Mockel (1925) ;
• L'Angoisse des steppes, paroles de Constantin Balmont (1927) ;
• Rythme perdu, paroles de L. Arnould-Gremilly (1927) ;
• Le Repos en Égypte, paroles d'A. Samain (1928) ;
• Le Vitrail, paroles d'Alice Sauvrezis (1928) ;
• En vain d'un voile épais, paroles de V.-É. Michelet (1939).
Musique de chambre
• Duo, pour deux pianos (1899) ;
• Sonate en ré mineur, pour violon et piano (1902) ;
• Dialogues, pour deux pianos (1913) ;
• Chant sans paroles, pour violon et piano (1917) ;
• Poème, pour violoncelle et piano (1920).
Musique pour piano :
• Chant sans paroles (1898) ;
• Deux Pièces caractéristiques (1899) ;
• [3] Pièces pour piano (1899) ;
• La Goutte d'eau (1904) ;
• En automne (1910) ;
• Étude héroïque pour la main gauche seule (1912) ;
• Cloches de Pâques (1934) ;
• France! (1915) ;
• Gestes d'enfants (1925) ;
• Notations d'été (1929) ;
• À la volée (1934).
Musique pour orgue :
• Choral pour l'Offertoire (1914). éléments biographiques
Alice Marie Marguerite Sauvrezis est née le 4 avril 1866 à Nantes.
Elle étudie à Paris à partir de 1888, avec César Franck, puis à la mort de ce dernier avec Théodore Dubois, Ernest Guiraud et Paul Vidal. Elle est compositrice, pianiste, chef de chœur, professeur de musique, enseigne le piano et rejoint la Société Artistique et Littéraire de l'Ouest basée à Paris en 1891, dont elle deviendra présidente en 1920 et par laquelle elle a promu la musique et la culture celtiques en France.
La société organisait des « soirées celtiques » à l'amphithéâtre de chimie de la Sorbonne, où l’on pouvait assister à une conférence sur un thème celtique et des auditions d’œuvres de compositeurs bretons, gallois ou irlandais.
En 1895, elle est nommée officier d'académie dans l'ordre des Palmes académiques. Comme compositrice, elle adhère en 1896 à la Sacem.
En 1913-1914, elle est la seule femme membre de l’Association des compositeurs bretons. Durant la Première Guerre mondiale, elle édite deux recueils de chants de soldats français, Chants de soldats (1525-1915)8, et Autres chants de soldats (1200-1916) fruits d’une collecte et où l’on peut trouver un hymne de sa composition juxtaposée à la célèbre Marseillaise.
À partir de 1930, elle organise des concerts commentés pour la jeunesse à la salle Pleyel-Debussy, intitulés le « musée musical ».
Sa musique publiée se compose principalement de mélodies ainsi que de musique pour piano et de musique de chambre, outre quelques pièces pour chœur et orchestre. Elle est la dédicataire d'œuvres d'autres compositeurs, tels Marguerite Balutet (Impromptu, op. 15 n° 22, pour main gauche seule) et Paul Dedieu-Péters (Porte close, scherzo pour piano op. 58).
Mélodies :
o Nuit mauresque, pour voix et orchestre
o Six poèmes arabes, pour voix et orchestre
o Six poèmes arabes, pour voix et piano
o Crépuscules d'automne, cycle de mélodies
o Sous-Bois
o Vieille chanson espagnole
o Rimes tendres
o Fatum
o Melancholia
o Matin de Pâques
o L’inconnu
o Légende
o Noël pastorale
o Péché véniel
o Sur le bord
o Chanson de mer
o La lampe du ciel
o La lettre
o D’un berceau
o Déclaration
o Hélène
o Secret aveu
o Les cloches
o Nocturne
o Pie Jesu
o Sérénade
o Première
o La lampe du ciel
o Les Yeux
o Odelette
o Roses du soir
o Chanson de mer
o Aigues marines
o Au pays
o De Ceylan
o Sérénade mélancolique
o La fontaine d’Hélène
o 3 chants hébraïques
o Le pays sans nom
o L’heure captive
o La Mauvaise prière
o La berceuse du marin
o Tendresse
Symphonique vocal :
o Les Saisons, pour solo, chœur et orchestre - poème symphonique
o La Légende du sang, pour récitant, chœur et orchestre
Musique de chambre :
o Sillages, 3 pièces pour piano
o Sonate pour violon et piano
o Quintette avec piano
o Improvisation pour 2 guitares
Chœur :
o Sagesse, sur un texte de J. Autran, pour trois voix féminines.
o Invocation à Odin, sur un texte de de Bengy-Puyvallée, pour baryton, et voix masculines (aussi version orchestrée).
o Les cloches, mélodie sur un texte de Ludana, pour voix et piano (version pour voix féminines, chœur, et orchestre).
o Tu es petrus
o Cache-cache, mélodie sur un texte de de Bengy-Puyvallée, pour Mezzo-soprano, Baryton et piano (aussi version pour soprano et chœur).
o O Salutaris, pour soprano ou ténor, chœur, violon et orgue.
o Pie Jesu, pour une voix et orgue.
o Ave Maria
o Incantation, pour chœur, orchestre de jazz, orchestre. éléments biographiques
Louis Aubert est né le 19 février 1877, la même année de Paul Ladmirault, autre grand compositeur breton.
Enfant, sa voix de soprano incita ses parents à lui faire suivre des études musicales. De Saint-Malo, la cité corsaire, le jeune Aubert part intégrer le Conservatoire de Paris à l'âge de 11 ans. Il chantera le solo très célèbre du Pie Jesu du Requiem de Gabriel Fauré lors de sa création à l'église de la Madeleine à Paris. C'est avec ce même compositeur qu'il apprit entre autres disciplines la composition. Plus tard, Maurice Ravel lui dédiera ses Valses Nobles car Louis Aubert est aussi un grand pianiste ! Il se fait rapidement un nom et est rapidement reconnu par ses pairs pour son plus grand talent : la composition. On peut le rapprocher de son compatriote breton Jean Cras par l’attrait de l’ailleurs et de l’exotisme qu’il peut exprimer en musique. Il s'inspire tant de l'Espagne, du Pays basque que de contrées plus lointaines comme les pays arabes ou asiatiques. Il maria aussi avec talent la musique classique au jazz dans des musiques l’orchestre de jazz et l’orchestre classique dans des pièces originales comme "Cinéma", où il fait référence à deux monuments du grand écran : Chaplin et Disney.
Honoré par les plus grandes académies musicales, il décèdera le 9 janvier 1968 à Paris.
Les musicologues et son confrère Louis Vuillemin estiment que l'œuvre de Louis Aubert est marquée par l'influence de trois génies de la musique : Fauré, Ravel et Debussy. Louis Aubert, installé au Pays basque, patrie de Maurice Ravel qu'il avait rencontré et dont il louait les talents, s'inspira en effet de la musique méridionale (Habanera, La Vieille chanson espagnole, La Nuit mauresque, ...). Il n'est pas un compositeur breton typique. Contrairement à ses homologues de l'école bretonne (Le Flem, Ladmirault ou Ropartz...), la Bretagne ne lui inspire finalement peu d'œuvres mais son opéra "La Forêt Bleue" fait un écho à Brocéliande et certaines de ses mélodies sont un hommage débordant à ses racines maritimes. Son opéra est un conte féerique tiré de personnages de Charles Perrault et fut un grand succès dès sa création à Boston en 1911. Le Tombeau de Chateaubriand, considéré comme son œuvre majeure fait également référence à la Bretagne et bien sûr à Saint-Malo. à voir sur cinekanadenn
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